Gianfranco Asveri

Il n'a pas fréquenté d'académie ni poursuivi d'autres études artistiques mais, après une enfance et une adolescence difficiles, dans 1969 il a commencé à peindre, trouver une raison de vivre dans l'art.
Après une première période où il s'exprime avec un langage figuratif traditionnel, depuis les années quatre-vingt sa peinture a atteint un geste plus instinctif et personnel, riche en couleur et en matière, proche de l'expressionnisme de l'Art Brut.

Représentant d'un style de peinture fortement instinctif et émotionnel, Asveri attaque la surface avec un geste dominateur et primitif, ce qui lui permet cependant de coexister avec d'autres matrices expressives moins perceptibles, comme la mémoire des images artistiques. Avec une inspiration profonde et vitale, La peinture d'Asveri vient de l'observation de la réalité: les animaux que l'artiste collectionne et soigne, avec qui il vit et qu'il aime par dessus tout, auquel il dédie des dessins, peintures et poèmes.

Le journal Sole24Ore l'a récemment signalé parmi les dix artistes leaders du marché de l'art italien. Des critiques tels que Luca Beatrice ont écrit sur lui, Paolo Blender, Béatrice Buscaroli, Luciano Caprile, Martina Corgnati, Maurizio Corgnati, Elda Fezzi, Stefano Fugazza, Flaminio Gualdoni, Elisabetta Longari, Lorenzo Kamel, Domenico Montalto, Nicoletta Pallini, Elena Pontiggia, Giovanni Quaglino, Alexandre Riva, Marco Rosci, Maurizio Sciaccalunga, Giorgio Severo, le poète Ferdinando Cogni, Ivana D'Agostino et Claudio Vela.